L'investissement locatif

K Cyril

Cyril K - Le 18 oct. 2017 à 14:26
Mise à jour : Le 14 déc. 2020 à 16:53

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Investir n’est pas une chose facile. Différentes solutions, plus ou moins risquées, sont disponibles pour les néo-investisseurs. Dans ce cas précis, de nombreuses personnes font le choix de l’investissement immobilier locatif : il s’agit d’acquérir différents biens, comme des appartements ou des maisons, pour ensuite les placer en location.

L'investissement locatif

Le choix d’un investissement n’est pas le plus simple, notamment lorsque c’est la première fois que vous vous apprêtez à placer de l’argent durement acquis. De nombreux choix s’offrent à vous, comme les investissements dans les valeurs refuges, sur les marchés financiers, l’investissement écologique ou encore l’investissement immobilier.

L’investissement immobilier locatif est souvent privilégié : il fait figure de garantie sérieuse, tout en proposant une rentabilité non négligeable. En effet, investir dans la pierre est une des formes d’investissement les plus classiques, qui a déjà fait ses preuves pour de nombreux propriétaires et qui génère suffisamment peu de risques pour être séduisant.

Autre avantage de ce type d’investissement : l’engagement de l’État. Soucieux de garantir des logements décents à l’ensemble de la population, l’État, en plus d’inciter à la construction d’HLM par la législation, a mis en place des systèmes de défiscalisation attractifs, pour encourager les plus indécis à se lancer dans ce sens, notamment avec le dispositif de la Loi Pinel.

UN DISPOSITIF REMIS EN QUESTION

L’année 2017 a été marquée par un fort renouvellement de la classe politique française. Les élections présidentielles et législatives ont fait émerger de nombreux visages et de nouvelles idées. Cependant, en matière de dispositif fiscal avantageux pour les investisseurs immobiliers, rien n'a changé. En effet,le gouvernement maintient la loi Pinel comme l’a confirmé Jacques Mézard, le ministre de la cohésion des territoires, et ce pour une durée minimale de quatre ans.

Autre dispositif maintenu malgré le changement du paysage politique français : le prêt à taux zéro (PTZ). Si ce dernier sera toujours en vigueur, sa zone d’application sera vraisemblablement plus limitée, et concernera en priorité les zones ou l’immobilier à besoin d’être boosté. Une légère modification qui laissera certainement un goût amer aux investisseurs hors zones concernées qui souhaitaient y recourir.